Mémoires
Je me souviens de ton corps
De ton corps auprès du mien
Quand sur l’herbe au matin
Nous nous caressions encore
Je me souviens de ton visage
De ton visage fixant le mien
Quand tes yeux et les miens en partage
S’offraient au regard du matin
Je me souviens de tes yeux
De tes yeux dans les miens
Quand sur la fresque des vœux
On dessinait notre chemin
Je me souviens de ton regard
De ton regard face au mien
Quand la folie nous faisait veiller tard
Jusqu’aux cernes aux creux des mains
Je me souviens de tes mains
De tes mains serrant les miennes si fort
Quand la sève du matin
Nous embrasait encore
Je me souviens de tes lèvres
De tes lèvres embrassant les miennes
Quand nous succombions à la fièvre
Qui au matin redevenait reine
Je me souviens de ton cœur
De ton cœur en or
Quand le jour réveillait sa douceur
Pour faire de notre amour un trésor
Je me souviens de ton cœur
De ton cœur qui battait sur le mien
Quand le sourire du matin
De la nuit prolongeait la douceur
Je me souviens de ton corps
De ton corps auprès du mien
Quand sur l’herbe au matin
Tu me disais je t’aime encore
Marien
Je me souviens de ton corps
De ton corps auprès du mien
Quand sur l’herbe au matin
Nous nous caressions encore
Je me souviens de ton visage
De ton visage fixant le mien
Quand tes yeux et les miens en partage
S’offraient au regard du matin
Je me souviens de tes yeux
De tes yeux dans les miens
Quand sur la fresque des vœux
On dessinait notre chemin
Je me souviens de ton regard
De ton regard face au mien
Quand la folie nous faisait veiller tard
Jusqu’aux cernes aux creux des mains
Je me souviens de tes mains
De tes mains serrant les miennes si fort
Quand la sève du matin
Nous embrasait encore
Je me souviens de tes lèvres
De tes lèvres embrassant les miennes
Quand nous succombions à la fièvre
Qui au matin redevenait reine
Je me souviens de ton cœur
De ton cœur en or
Quand le jour réveillait sa douceur
Pour faire de notre amour un trésor
Je me souviens de ton cœur
De ton cœur qui battait sur le mien
Quand le sourire du matin
De la nuit prolongeait la douceur
Je me souviens de ton corps
De ton corps auprès du mien
Quand sur l’herbe au matin
Tu me disais je t’aime encore
Marien