Le stylo saigne de l’encre,
Sur les feuilles vierges,
Des mots douleurs
S’étalent les uns après les autres,
La tempête d’idée
Martèle ma tête
Pour accoucher de quelques lettres
Insignifiantes.
C’est ma drogue,
Ma cocaïne,
Sans stylo
Je n’écris plus,
Sans stylo je ne vis plus,
Ce des cris-textes,
D’une couleur-douleur,
Maux de cœurs
Et blessures de blues
C’est mon âme qui coule
Avec l’encre,
Et c’est l’encre
Le messager de mon âme,
C’est la clef pour celui,
Ou celle qui veux m’explorer,
Dans ce labyrinthe,
D’idées, d’espoirs et de douleurs,
Mais je ne suis pas sûr
D’avoir encore un cœur…
Sur les feuilles vierges,
Des mots douleurs
S’étalent les uns après les autres,
La tempête d’idée
Martèle ma tête
Pour accoucher de quelques lettres
Insignifiantes.
C’est ma drogue,
Ma cocaïne,
Sans stylo
Je n’écris plus,
Sans stylo je ne vis plus,
Ce des cris-textes,
D’une couleur-douleur,
Maux de cœurs
Et blessures de blues
C’est mon âme qui coule
Avec l’encre,
Et c’est l’encre
Le messager de mon âme,
C’est la clef pour celui,
Ou celle qui veux m’explorer,
Dans ce labyrinthe,
D’idées, d’espoirs et de douleurs,
Mais je ne suis pas sûr
D’avoir encore un cœur…