Ici, on ne voit plus le jour,
Ici les enfants pleurent,
Les hommes courent,
Ici règne la peur.
Les bombes crient,
Les bombes éclatent,
Eclatent les vies,
Répandent l’or écarlate
Ici une femme apeurée,
Serre sont bébé,
L’avenir de l’humanité,
Cet espoir d’une probable paix…
L’enfant ne moura peut être pas,
Oui, l’enfant grandira,
Oui, l’enfant racontera,
Oui…au nom des siens il le fera,
Il dénoncera ces bombes,
Il racontera les villages brûlés,
Il leur dira, sa mère et ces femmes violées,
Il pleurera devant nos tombes.
Très vite l’enfant partira
Très vite l’enfant reviendra,
Pour pardonner sans oublier,
Il sera l’ambassadeur de la paix…
Sauvez l’enfant, sauvez le !
Trop tard… la milice est déjà là,
Oh non ! Epargnez le !
L’espoir s’efface, s’en va.
La machette… la peur, des cris,
Le sol se revêt d’un manteau de sang
Lentement, s’écoulent les vies
Et s’envolent les anges blancs.
Ici les enfants pleurent,
Les hommes courent,
Ici règne la peur.
Les bombes crient,
Les bombes éclatent,
Eclatent les vies,
Répandent l’or écarlate
Ici une femme apeurée,
Serre sont bébé,
L’avenir de l’humanité,
Cet espoir d’une probable paix…
L’enfant ne moura peut être pas,
Oui, l’enfant grandira,
Oui, l’enfant racontera,
Oui…au nom des siens il le fera,
Il dénoncera ces bombes,
Il racontera les villages brûlés,
Il leur dira, sa mère et ces femmes violées,
Il pleurera devant nos tombes.
Très vite l’enfant partira
Très vite l’enfant reviendra,
Pour pardonner sans oublier,
Il sera l’ambassadeur de la paix…
Sauvez l’enfant, sauvez le !
Trop tard… la milice est déjà là,
Oh non ! Epargnez le !
L’espoir s’efface, s’en va.
La machette… la peur, des cris,
Le sol se revêt d’un manteau de sang
Lentement, s’écoulent les vies
Et s’envolent les anges blancs.
Troll 2004