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Ici où il y a la mer et un vent si fort
Sur une vieille terrasse donnant sur le golfe de Sorrente
Un homme embrasse une fille après qu'elle eût pleurée
Puis il s'éclairci la voix et recommence son chant
[Refrain]
Je t'aime tant
Mais tant tu sais
C'est devenue une réaction en chaîne désormais
Qui dissous le sang dans les veines, tu sais
Je vois ces lumières au milieu de la mer, et je pense aux nuits là-bas en Amérique
Mais ce ne sont que les lampions des pécheurs et le sillage blanc d'une hélice
Il ressenti une douleur dans la musique, et il se leva du piano
Mais lorqu'il vit la lune sortir d'un nuage
Même la mort lui sembla plus douce
Il regarda la fille dans les yeux, ces yeux verts comme la mer
Puis à l'improviste une larme surgie, et lui il crut qu'il se noyait
[Refrain]
Puissance du lyrisme où chaque drame est une supercherie
Où avec un peu de maquillage et quelques mimiques tu peux devenir un autre
Mes deux yeux qui te regarde de si prêt et si vrais
Te fond oublier les paroles et s'emmêler tes pensées
Comme ça tout devient petit, tout comme ces nuits en Amérique
Tu te retournes et tu vois ta vie comme le sillage d'une hélice
Même si c'est la vie qui fini lui il y pense à peine
D'ailleurs il se sentait déjà réconforté et il reprit son chant
[Refrain] (X2)
(1) : Il s'agit d'une chanson sur les derniers jours du chanteur d'opéra
Enrico Caruso passé à Sorrento, près de la femme de sa vie. Cependant
Plusieurs histoire existe sur ce titre (allez savoir laquelle est la vraie ! )
Et d'autres texte parle plutôt d'une jeune fille, à qui il donnait des
Cours. de chant, et à qui il annonça sa mort proche du fait d'un cancer.
Ce titre fut reprit par la suite par PAVAROTTI, BOCCELLI, PAGNY et
JOSH GROBAN.
Concernant F Pagny il existe une version française mais qui est une adapta-
Tion libre de l'esprit initial du texte de LUCIO DALLA, et qui a été faite
Pour pouvoir 'coller' à la mélodie. Aucune traduction ne pourra de toute
Façon coller à l'atmoshpère du texte original et le mieux et d'apprendre
L'italien... et le napolitain ! ! !
Ici où il y a la mer et un vent si fort
Sur une vieille terrasse donnant sur le golfe de Sorrente
Un homme embrasse une fille après qu'elle eût pleurée
Puis il s'éclairci la voix et recommence son chant
[Refrain]
Je t'aime tant
Mais tant tu sais
C'est devenue une réaction en chaîne désormais
Qui dissous le sang dans les veines, tu sais
Je vois ces lumières au milieu de la mer, et je pense aux nuits là-bas en Amérique
Mais ce ne sont que les lampions des pécheurs et le sillage blanc d'une hélice
Il ressenti une douleur dans la musique, et il se leva du piano
Mais lorqu'il vit la lune sortir d'un nuage
Même la mort lui sembla plus douce
Il regarda la fille dans les yeux, ces yeux verts comme la mer
Puis à l'improviste une larme surgie, et lui il crut qu'il se noyait
[Refrain]
Puissance du lyrisme où chaque drame est une supercherie
Où avec un peu de maquillage et quelques mimiques tu peux devenir un autre
Mes deux yeux qui te regarde de si prêt et si vrais
Te fond oublier les paroles et s'emmêler tes pensées
Comme ça tout devient petit, tout comme ces nuits en Amérique
Tu te retournes et tu vois ta vie comme le sillage d'une hélice
Même si c'est la vie qui fini lui il y pense à peine
D'ailleurs il se sentait déjà réconforté et il reprit son chant
[Refrain] (X2)
(1) : Il s'agit d'une chanson sur les derniers jours du chanteur d'opéra
Enrico Caruso passé à Sorrento, près de la femme de sa vie. Cependant
Plusieurs histoire existe sur ce titre (allez savoir laquelle est la vraie ! )
Et d'autres texte parle plutôt d'une jeune fille, à qui il donnait des
Cours. de chant, et à qui il annonça sa mort proche du fait d'un cancer.
Ce titre fut reprit par la suite par PAVAROTTI, BOCCELLI, PAGNY et
JOSH GROBAN.
Concernant F Pagny il existe une version française mais qui est une adapta-
Tion libre de l'esprit initial du texte de LUCIO DALLA, et qui a été faite
Pour pouvoir 'coller' à la mélodie. Aucune traduction ne pourra de toute
Façon coller à l'atmoshpère du texte original et le mieux et d'apprendre
L'italien... et le napolitain ! ! !